Les hiérarchies parallèles égalisent les chances "des moins doués selon les normes officielles". Etienne de la Boétie tenait la corruption pour " le secret de la domination" ; il est possible d'actualiser. Ne s'agit-il pas d’accroître - les chances de survie de l'espèce -, en construisant consciemment d'autres dispositifs sociaux de satisfaction de nos systèmes nerveux que ceux basés sur le relatif équilibre de plaisir et de déplaisir associé à toute position hiérarchique.
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dimanche 20 octobre 2013
Depuis la lecture de l'ouvrage de Jacques de Saint Victor Un pouvoir invisible . Les mafias et la société démocratique XIX e et XXI e , j'abandonne le fil des billets politiques et sociaux. L'analyse produite par de Saint Victor, me renforce dans l'idée qu'il faut désormais comprendre l'évolution de nos sociétés par la construction de hiérarchies parallèles, lesquelles sont nécessaires à l'égalisation des chances "des moins doués selon les normes officielles". Accessoirement donc, j'ouvre un "mini blog-note" sur cette question. L'utilité de ces notes serait, le cas échant, de faire partager l'idée d'Etienne de la Boétie faisant de la "corruption selon ses mots 'le secret de la domination", et d'en actualiser la compréhension afin d'accoitre l'éventuelle cjhance de chance de survie de notre espèce, dès lors que nous pourrions construire consciemment d'autres dispositif sociaux de satisfaction de nos systèmes nerveux que ceux, restés trop primitifs, de la dominance.
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